@article{Gaetzi_2020, title={Le roman comme une possibilité d’une expérience fantasmée}, volume={1}, url={https://bop.unibe.ch/versants/article/view/7223}, DOI={10.22015/V.RSLR/67.1.4}, abstractNote={<p class="p2">Pascale Kramer considère le roman comme un modèle expérimental qui lui permet de répondre à des interrogations existentielles. Dans <em>Le Bateau sec </em>(1997) et <em>L’Implacable Brutalité du réveil </em>(2017), elle se focalise sur le personnage d’une mère confrontée à des difficultés dans sa relation avec sa fille. Dans les deux romans apparaît un écart troublant entre le savoir de la voix narrative et le savoir des personnages. Le personnage semble tantôt ne pas saisir ce que la voix narrative analyse avec précision, tantôt capable d’exprimer ce qu’il ressent d’une manière quasi autonome. Le roman peut-il répondre aux questions qui préoccupent Pascale Kramer ? La fiction n’aurait-elle pas plutôt pour fonction de nous faire vivre des affects fantasmatiques, tout en laissant les interrogations ouvertes ?</p> <p class="p3"><em>Keywords </em>: Pascale Kramer, fiction, modèle expérimental, interrogations, maternité, affects</p>}, number={67}, journal={Versants. Revista suiza de literaturas románicas}, author={Gaetzi, Claudine}, year={2020}, month={oct.} }