Haro sur le poncif ! Baudelaire, Silvestre, Goncourt et la peinture du lieu commun
DOI :
https://doi.org/10.22015/V.RSLR/64.1.7Résumé
Avant qu’il ne qualifi e un tour de phrase banal, une idée éculée ou préfabriquée,le poncif tire son origine des arts visuels. Il s’agit, techniquement, d’un
moyen de transfert. Cet article se propose de revenir aux origines proprement
visuelles du poncif et de voir comment, au xixe siècle, la critique d’art en a fait
usage. À partir de la défi nition du Salon de 1846 de Charles Baudelaire, on observera
comment cette exaspération à l’égard du trop connu a été mise en oeuvre par
le critique d’art, contemporain et ami de Baudelaire, Théophile Silvestre, et les
frères Goncourt, dans Manette Salomon.
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Publié
2017-10-19
Numéro
Rubrique
Articles
Licence
© Julien Zanetta 2017
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Comment citer
Zanetta, J. (2017). Haro sur le poncif ! Baudelaire, Silvestre, Goncourt et la peinture du lieu commun. Versants. Revue Suisse Des littératures Romanes, 1(64). https://doi.org/10.22015/V.RSLR/64.1.7